Georges Chich

Georges Chich vit à Oullins. Après avoir dirigé un centre culturel du grand Lyon, il se consacre à des activités culturelles multiples : animateur fondateur d’un atelier lecture de poésie pendant près de cinq ans, incitateur d’une publication, L’Algérie, le soleil et l’obscur de Madeleine Chaumat et de son adaptation au théâtre par la compagnie de la Poursuite, co-organisateur depuis 2007 des Coïncidences Poétiques. Il a publié en juin 2020 son dernier livre poésie, Quelque chose qui illumine, chez Jacques André éditeur. Quelques textes récemment dans Arpa. Il participe depuis octobre 2016 au collectif Ecrits/studio relancé par Patrick Dubost. Sa première pièce Galerie de portraits sonores est actuellement diffusée sur radio o.

Bibliographie

Motifs pour une descente de croix, avec des dessins à la plume de Riba, préface de Jacques Borel, Arbre à paroles, Amay, 1997.

Lors, avec un calque de Marcelle Benhamou, Sang d’encre, Poleymieux au Mont d’or, 2006

Variations sur le poème de la fin de Marina Tsvetaeva, précédées de Nuages, avec une photographie de peinture de Winfried Veit, Jacques André éditeur, Lyon, 2006.

L’usine avec un dessin de Sylvie Sauvageon, Carnet des Sept Collines N° 27, Jean-Pierre Huguet éditeur, Saint Julien Molin-Molette, 2007.

Jours et Ajours suivis de autres poèmes, Jacques André éditeur, Lyon, 2014

Je suis… Victor Hugo, Jacques André éditeur, collection Je suis…, illustrations de Winfried Veit, préface de Frédérique Lignon-Rouyard, juin 2020.

Quelque chose qui illumine, poésie, Jacques André éditeur, juin 2020.

    

La bibliographie détaillée en revue n’a pas été établie. Ont publié de ses textes les revues Casse, Aires, Verso, Poésie Rencontre, Arbre à paroles, Rétroviseur, Le Croquant, I rouge, Arpa (117 et 128). Beaucoup de ces revues n’existent plus.

Textes et documents  :